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19 avril 2007 4 19 /04 /avril /2007 14:43

INTERVENANTS :

- Soeur Simone Engelhard, dominicaine, engagée pour l'Europe au groupe dominicain "Espaces".

- Agnès Jacques, ingénieur à l'Ecole des Mines de Nancy.

- Bill Twitchett, docteur en "Géographie - Aménagement" à la Sorbonne.

 

Pour s'inscrire : 03 21 71 07 77 - tecri@wanadoo.fr -

 

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L'ASSOCIATION "TERRE & CITÉ" PARLE D'ARRAS ET DE SA RÉGION.

Une quinzaine de personnes s'étaient retrouvées au diocèse pour participer à un atelier : Arras dans sa région. Deux personnes devaient intervenir : Bertrand Revel, directeur des affaires juridiques et stratégiques à la C.U.A. et coordinateur du Pays d'Artois, et Bill Twitchett, docteur en géographie et en aménagement.

Pendant trois heures, un rappel géographique a été fait. On a parlé du Pays d'Artois : un fait nouveau dans le paysage politique et administratif. Enfin, entre Lille et Arras : quel rôle régional pour Arras ?

Une nouvelle conférence, sur le thème de l'Europe, est prévue au mois de Mai.

l'Avenir de l'Artois. Mer-29-3-06.

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TERRE ET CITÉ.

Association Inter Régionale (loi 1901).

Siège social : 103 rue d'Amiens. 62000 Arras.

Tel : 03 21 23 27 23. Fax : 03 21 71 47 12. Mél : tercitey@nordnet.fr

Extrait des statuts.

Article 2 - Objet de l'association.

L'association a pour but de favoriser le développement responsable et équilibré des établissements humains dans différentes régions du monde.

(...) Les idées reçues : nos cartes mentales.

Dans le brouhaha des cris et lamentations de ceux qui trouvent dans la peur une raison de non-vivre, se sont installés dans notre mental des schémas qui privilégient le catastrophisme à la raison, et ainsi généralisent sur l'espace planétaire des phénomènes certes inquiétants, mais sans doute réversibles.

Pour répondre au vrai défi de notre temps, il est de notre responsabilité de nous inscrire dans l'élan d'une "nouvelle Renaissance", et d'abandonner nos cartes mentales obsolètes voire fausses.

(...) Une gouvernance renouvelée : la région conviviale comme lieu d'interpellation.

Force est de constater la désuétude de bien des entités politiques pour organiser cette évolution dans le nouveau contexte des régions urbaines. Allons-nous persister avec un modèle de nations dominantes qui s'imposent à une nébuleuse de villes moyennes, à partir de capitales de plus en plus immenses, ou allons-nous vers un réseau de régions conviviales réparties à travers chaque sous-continent ?

La maîtrise des rythmes quotidiens et hebdomadaires pour chaque personne semble donc passer par une réflexion approfondie à l'échelle du site régional, lieu d'élaboration de convictions qui pourraient devenir un programme d'action pour une gouvernance renouvelée. Seule la vie associative semble être à même de pouvoir permettre des prises de position pertinentes et ajustées, pour contribuer aux transformations positives de nos lieux de vie, par des processus démocratiques sereins.

(...) Nous avons la conviction que notre planète, bien que limitée dans ses dimensions physiques et affaiblie par des occupations désordonnées (mais non irréversibles), offre des sites urbains existants ou potentiels dont la saturation est loin d'être acquise. D'autant qu'une réalité nouvelle élargit notre vision, conforte notre espoir et s'impose comme lieu d'identification des groupes humains épanouis dans leur sentiment d'appartenance à une urbanité et à une ruralité équilibrées, dans leur maîtrise d'une gouvernance sereine, fille d'une histoire et d'une culture commune ; nous nommons ce lieu d'avenir, unité de base d'un aménagement conscient de l'espace : LA RÉGION CONVIVIALE.

Bill Twitchett,

Edmond BONNEFOY,

Philippe VAILLANT.

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Document de la Commission sociale des évêques de France.

LE RESPECT DE LA CRÉATION.

Dieu confie à l'homme sa création pour qu'il la garde et la cultive. Le 13 janvier 2000, la Commission sociale des évêques de France rendait publique son document intitulé "Le Respect de la Création". dans le texte d'ouverture, Mgr Olivier de Berranger, évêque de Saint-Denis-en -France et président de cette Commission, invite à un "sursaut vital" de tous et à une "autolimitation" des individus et des États. Le document détaille l'héritage du XXe siècle en matière de dommages écologiques et les défis qui s'annoncent, insistant sur le rôle de l'homme, "gérant" responsable de la Création divine.

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"Terre et Cité" - Association le pavillon - Arras et la Communauté Vie Chrétienne (CVX).

LA CRÉATION ... ET MAINTENANT ?

Compte-rendu d'une soirée table ronde tenue le jeudi 28 février 2002 à la Maison Diocèsaine Saint Vaast.

Avec la participation de :

P. Damien Le Douarin - Secrétaire de la Commission Sociale des Évêques de France.


Mme Janine Prost - Animatrice de l'atelier CVX national : "Chrétiens coresponsables de la Création".
Mme Claudine Joalland - Directrice du Développement Urbain et Envt à la Communauté Urbaine d'Arras.
M. Pierre-Yves de Lamarlière - Élu Agriculteur de l'année 2001.

Animateur : Bill Twitchett - Docteur en Géographie-Aménagement.

Compte-rendu réalisé par
Thérèse Duhourcau
Antoine Galloni d'istria
Bill Twitchett

l'Association le Pavillon, 103, rue d'Amiens ARRAS.
Tel : 03 21 71 07 77 ou Fax : 03 21 71 47 12.
mél : tercitey@nordnet.fr

L'époque actuelle est marquée par une large prise de conscience concernant l'équilibre écologique planétaire : changements naturels ou provoqués par l'homme ?
Du global au local - quelles sont nos responsabilités et nos possibilités d'action ?

19 pages de restitution des échanges.

(...)

Père Damien Le Douarin (Secrétaire de la Commission Sociale des Evêques de France).

(L'enregistrement ayant fait défaut pour cette intervention, les lignes qui suivent sont basée sur un texte fourni par l'intervenant).

(...)  Dans l'Eglise catholique, la première intervention d'envergure fut celle du cardinal Villot, en 1971 : "Toute atteinte à la Création est un affront au Créateur".
Le pape Jean-Paul II est intervenu à de multiples reprises. Trois de ces interventions sont à signaler :
- dans son encyclique Sollicitudo rei socialis (1987), encyclique consacrée au développement des peuples. C'est la première fois qu'un texte pontifical aborde aussi nettement les thèmes popularisés par la mouvance écologique,
- dans son encyclique "Centisimus annus" (1991), il parle longuement d'une écologie humaine,
- la journée mondiale de la paix du 1er Janvier 1990, ayant pour thème : "La paix avec le Dieu Créateur. La paix avec la Création".
 L'Eglise en France, pour sa part, a attendu le mois de janvier 2000 pour aborder publiquement ce sujet dans une plaquette intitulée "Le respect de la Création". La Commission sociale, reprenant à son compte les recherches de Pax Christi, tient à alerter l'opinion des catholiques.
 Le livre de la Genèse s'ouvre sur deux récits de la Création, différents l'un de l'autre et complémentaires. Ils évoquent la création du monde en des termes qui sont éloignés de notre mentalité scientifique mais qui n'en sont pas moins porteurs d'un sens toujours actuel :

 1) Le premier récit raconte poétiquement l'oeuvre de la Création au long d'un succession de six jours. Fleuron des créatures de Dieu, l'être humain se caractérise par une ressemblance qui n'appartient pas au reste de la Création : il a été créé à l'image de Dieu. Pour bien comprendre ce récit, il faut savoir que, composé en exil à Babylone vers 590 avant JC, il s'adresse à un peuple qui a tout perdu, qui est déprimé, découragé. Il s'agit avant tout de le stimuler, de l'encourager pour vaincre les difficultés et le pessimisme. D'où les mots d'ordre : "Soyez féconds, multipliez-vous, emplissez la Terre et soumettez-la ; dominez sur les poissons de la mer ...".
Dans un passé récent, les verbes "soumettre" et "dominer" ont été interprétés en un sens trop dominateur, comme si l'homme était démiurge et jouissait de tous les pouvoirs.

2) A la différence du premier récit, l'être humain y est davantage perçu dans sa fragilité. Seules les mains et le souffle de Dieu sont capables de donner cohésion et vie à ce qui est éphémère, fragile et dispersé. Mais l'homme apparaît aussi dans sa grandeur. Placé dans le jardin d'Eden "pour y cultiver le sol et le garder", on pressent qu'il est en effet destiné à une communion particulière avec Dieu. (Encore faudra-t-il pour cela qu'il consente à sa condition de créature). Dieu a voulu l'homme actif et responsable. Pas question de dominer ou d'exploiter sans limite les ressources de la Création. L'homme n'est pas le maître absolu de la Création. S'il a le droit d'en user, il n'a pas le droit d'en abuser. Il doit en être l'intendant et le gestionnaire responsable. C'est une gérance qui lui est confiée afin qu'il la fasse fructifier et la rende habitable pour tous.

 L'importance et la signification du Sabbat sont souvent sous-estimées, bien que l'enseignement de la Bible soit capital pour notre propos à cet égard. Pourquoi ce commandement ? Parce qu'en s'arrêtant, non seulement l'homme peut se reposer mais également prendre du recul, porter un jugement. En s'arrêtant, il rappelle surtout qu'il n'est pas la mesure des choses, mais seulement l'image de Celui à qui appartient l'univers et tout ce qui l'habite. A cette condition, il ne se laisse pas prendre au piège de son propre pouvoir : il reconnaît que son oeuvre est limitée et qu'elle n'a de valeur que si elle est fécondée par la rencontre de Dieu.
 Donc, le sabbat ne saurait se réduire à un simple jour de repos. C'est d'abord un signe de liberté (Dt 5, 15) : il s'agit de quitter, à l'égard de soi-même, des autres mais aussi des animaux de la animaux de la Terre, une relation d'usage pour adopter une attitude de respect, de bénédiction et de contemplation. Ce jour est caractérisé par la convivialité et le partage ; et tout être humain, y compris l'esclave et l'immigré, tout être vivant (y compris les arbres et la Terre) y a droit. Ce jour d'arrêt rappelle que l'homme n'est pas uniquement un être de travail. Le libéralisme complet conduit à comprendre l'homme à partir de ses activités. Le repos hebdomadaire empêche l'homme d'être piégé par l'homme. Il lui redit chaque semaine qu'il vaut mieux et autrement que ses oeuvres. L'homme est appelé à une grandeur qui dépasse les lois du marché. Faute d'être attentif à cette dimension spirituelle, l'homme est réduit à la mesure de sa production, ce qui est mutilant.

 Toute la Bible se trouve enchâssée entre les récits de la première Création (Gn 1-3) et la perspective d'une Création transfigurée à la fin des temps (Apoc 21,1-2) :
 1- Contemplation. Nous devons reconnaître que l'une des attitudes premières de l'homme doit être une démarche de louange, d'action de grâce, de contemplation et également de prière. Le Pape Jean-Paul II souligne l'importance d'une attitude désintéressée, faite de gratuité et de sens esthétique. Nous avons en cela un modèle exceptionnel dans la personne de Saint François d'Assise, patron des écologistes. Selon le témoignage du pauvre d'Assise, en étant en paix avec Dieu nous pouvons mieux nous consacrer à bâtir la paix avec toute la Création, inséparable de la paix entre les peuples.
 2- Un mode de vie plus sobre. Chaque chrétien est appelé à se convertir (c'est bien de conversion qu'il s'agit). Il doit repenser fondamentalement ses habitudes de vie, qu'il s'agisse de nourriture - il convient de valoriser la frugalité et la modération -, des moyens de transports, des achats de biens d'équipements, du choix de destination des vacances, ou du renoncement aux gaspillages inconsidérés. Toutes nos décisions ont des conséquences à long terme sur notre propre environnement et sur celui des générations qui suivent. Chaque consommateur, comme chaque producteur, dans un esprit de civisme écologique, doit avoir le souci des déséquilibres que peuvent engendrer ses habitudes. Le productivisme ne doit plus être l'idéal du travail. Dans ce domaine, la plus modeste de nos initiatives revêt de l'importance. Nous avons à nous libérer (c'est bien de libération qu'il s'agit) de l'esclavage de la consommation et de la course au toujours plus ! Nous sommes appelés à une certaine modération. Notre comportement personnel est-il cohérent avec ce que nous prônons théoriquement ?
 3- Un comportement solidaire (vis-à-vis des plus pauvres et vis-à-vis des générations futures).
 4- Une responsabilité d'éducation. Elle est nécessaire et urgente. L'objectif de cette éducation n'est pas idéologique ni politique, et sa conception ne peut s'appuyer sur le refus du monde moderne ou sur le désir vague d'un retour au paradis terrestre. La première éducatrice demeure la famille, dans laquelle l'enfant apprend à respecter l'autre et les autres, à respecter et à aimer la nature.
 5- Une maîtrise publique de l'économie. C'est au niveau international pour bien des problèmes, au niveau européen que l'on peut créer les institutions et les règles qui peuvent conjurer les dangers écologiques, en particulier par une maîtrise publique sur l'économie du monde : ce n'est pas le libre marché qui peut résoudre ces problèmes.

 C'est au niveau national, au niveau local qu'il faut aborder la question de l'environnement. C'est là que des progrès décisifs ou des innovations peuvent naître en matière de transports publics, d'urbanisme, de traitement des eaux et des ordures.

.)

Extrait (entre Janine Prost & l'ex-président de la C.C.I., ex-député européen, Charles Gheerbrant) :

- Pour répondre à monsieur, je vais vous dire qu'à Paris, j'ai quelque fois l'horreur sur beaucoup de points : la pollution, etc. Et j'avais l'autre jour une réunion à la mairie du XVIe où on nous expliquait la nécessité de créer un énorme transformateur E.D.F. qui a la hauteur de quatre étages d'un immeuble. Les gens du quartier se demandaient ce qui se passait, si nous en avions vraiment besoin, si il y avait des dangers, etc. On nous a expliqué qu'en prévision d'une consommation de plus en plus grande d'électricité, il fallait bien prendre les mesures nécessaires. Je me demande pourquoi est-ce qu'il faut consommer toujours plus d'électricité. On nous dit par exemple qu'on va éclairer davantage les rues parce que si on y voit plus clair, il y aura moins d'agressions, etc. J'ai l'impression qu'on prend le problème à rebours parce que je partage tout à fait une certaine horreur, et c'est pour ça que du négatif chacun peut peut-être tirer du positif. Mais il y a beaucoup de négatif, je suis d'accord ...
- Je ne comprend pas très bien. Vous êtes en train de reprocher la construction, l'implantation d'une installation électrique pour fournir de l'électricité dans le quartier. Alors là, je ne comprend plus du tout !
- Oui, parce que je ne vois pas la nécessité ...
- Les habitants ont des besoins qui sont ce qu'ils sont. Pourquoi voulez-vous ne pas leur fournir l'électricité dont ils ont besoin ?
- Oui mais c'est sans fin.
- Comment ?
- C'est sans fin ! Pourquoi voulez-vous aussi ... Bon il y a l'électricité, le pétrole, enfin tout y passe.
- Je ne comprend pas. Je ne comprend pas.

(...)

Père D. Le Douarin :

 En même temps, je dis quelques mots sur nos échanges. Je crois, des échanges comme ça ne doivent absolument pas conduire à culpabiliser, ou à accuser qui que ce soit. Je crois que ça n'avance à rien du tout. Il ne faut surtout pas désigner de boucs émissaires, on est là pour chercher à réfléchir ; et l'important pour tous, c'est de prendre conscience du problème et d'aider à prendre conscience du problème à beaucoup de gens. Je crois qu'il y en a peu qui sont véritablement conscientisés. Ou il savent très peu de choses, ou bien on ne veut pas croire qu'on va pouvoir rentrer éventuellement dans le mur.

Puis, je crois qu'il faut dépasser nos frontières hexagonales. Et ça, je rejoins un des points où vous avez parlé tout à l'heure, le ..., il faut prendre conscience de ce que sont un certain nombre de pays de part le monde, spécialement en Afrique, ... et bien souvent on en fait le dépotoir de bien des choses. Là, il y a une question de justice et de solidarité vis-à-vis d'eux.
 
On aurait pu dégager un certain nombre d'orientations, ce que l'on peut faire modestement là où l'on est. J'en prend trois : 
 - La première, c'est une question d'éducation. Est-ce que l'on éduque les jeunes générations à cette importance du respect de l'environnement et de la nature (et par des actions très simples, extrêmement simples, les plus simples qui soient) ? Ne serait-ce qu'utiliser les corbeilles à papier : des choses aussi simples que cela. Ca commence là.
 - Une deuxième chose je crois, c'est l'autodiscipline. Une autodiscipline ..., on a parlé de gaspillage, je crois que dans le temps on parlait d'ascèse, je crois qu'on en sortira pas s'il n'y a pas une limitation à la consommation des gens. On en sortira pas si on continue à consommer autant : on va dans le mur ; et surtout, ça c'est à comparer avec ce que l'on vit dans le monde, parce que les écarts ne font que grandir. Les écarts entre les riches et les pauvres ne font que grandir.
 - Et troisièmement, après l'éducation, l'autodiscipline, je crois à une solidarité réelle avec les gens qui vient auprès de nous (ça il n'y a pas de doute), mais aussi avec ceux qui vient au loin et c'est la question de la planète. Sans jouer au catastrophisme, je crois que notre planète est en danger et on en a pas conscience. On en a pas conscience parce que l'on tourne autour de l'hexagone, exactement comme ceux qui font la campagne politique aujourd'hui en France ne parlent que de l'hexagone. On ne parle pas de ce qui est au-delà. Alors c'est pour ça que je crois que la question du respect de l'environnement a des conséquences au niveau de la justice. C'est cette justice dans le monde quand on voit ce que l'on consomme et ce que les pays du Tiers-Monde peuvent consommer. Et, c'est un facteur de paix. Je termine là-dessus : vous savez, on a eu les événements du 11 septembre, on a eu l'exemple du 11 septembre. Ce qu'il faut comprendre, c'est que le terrorisme qui joue à l'échelon international ne s'origine pas dans l'inégalité à travers les peuples, mais cette inégalité entre les peuples entraine une frustration. Et cette frustration, c'est le terrain du terrorisme, le terreau du terrorisme ! Ca, j'en suis certain !


(...)

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commentaires

V
Hello Antoine, que deviens-tu ? <br /> Bon Lundi de Paques, <br /> Philippe Vaillant
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A
La discussion est ouverte ... En produisant le compte-rendu de cette table-ronde, j'avais lancé  un appel à réagir. Internet le permet ! (L'intégralité des échanges est disponible sur "simple demande" au prix de 2 euros). Et toujours cette invitation à prendre un café ...
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